Les séances “Un temps pour Soi” visent à expérimenter un temps où l’on fonctionne autrement, où l’on se pose, dans une pleine présence à soi, facilitant à la fois la capacité à se soulager, et à se transformer.
Conçues et déployées par un Expert Mainpaces, cette pratique sur mesure s’appuie sur l’articulation :
- de traditions orientales, dont le yoga
- d’un certain rapport à la philosophie
- d’un re-questionnement d’exercices spirituels
- d’un rapport scientifique au monde que l’occident a développé avec les neurosciences.
Le yoga est une discipline ancestrale, née de la philosophie indienne, visant, par la méditation, la respiration et les exercices corporels, à réaliser l'unification de l'être humain dans ses dimensions physique, mentale et spirituelle. En Occident, le yoga s’est récemment développé en tant que pratique sportive, de bien-être et de détente. Il a été adapté pour répondre aux besoins et fonctionnements de notre société, et a su attirer de nombreux pratiquants du fait de son efficacité et ses bienfaits.
Parmi les adaptations remarquables se trouvent celles qui ont su associer avec fertilité le yoga à l'anatomie. L’étude neuroscientifique de l’influence de la respiration, de la méditation, des postures et des mouvements du yoga sur les différentes parties du corps et les états du cerveau, a donné lieu à de nouvelles pratiques efficaces pour accepter ses tensions internes et laisser émerger sa vitalité. Elles mettent en évidence l’importance d’ancrer des seuils pour pouvoir y revenir, et changer de mode de fonctionnement.
C’est une expérience relationnelle, dans laquelle nous allons créer une disposition pour ne plus être en réaction, et laisser la possibilité à des choses essentielles d’émerger.
La pratique de cette expérience relationnelle est sensible, corporelle, et émotionnelle. Le cœur de l’expérience est d’apprendre à nous rencontrer dans un double mouvement, de relation à soi, et de relation au monde.
On se rencontre, on touche avec sincérité ce qui est (temps / espace / humeur), et on le laisse être en lui donnant de la place. Paradoxalement quelque chose se détend, se transforme, et nous soulage.
A partir de ce moment, on apprend à faire une pause, à fonctionner en changeant radicalement de régime : il n’y a pas l’obsession du but. On lâche quelque chose qui nous étreint, pour retrouver du souffle. Cette vitalité nous rend plus disponible au monde.
Le cadre de l’expérience est le temps donné pour la pratique
La pratique débute par un temps d’ouverture à notre présence corporelle et sensorielle (ambiance interne, ambiance externe), en s’étirant avec le corps, tout en articulant un rapport à notre respiration. Il se déroule au sol, sur un plan horizontal, pour assouplir les muscles et délier les articulations.
Ce temps nous repositionne en créant un lien entre le corps que l’on a, et le corps que l’on est. Il permet de s’ancrer pour se mettre en mouvement.
Puis on se redresse, et on se pose dans l’immobilité. La respiration porte la verticalité. Un rythme se crée et un alignement s’accorde. On prend le temps simplement de ressentir, et d'être.
La séance dure 1 heure 15 en présentiel, et se déroule sur un tapis de yoga. La pratique est guidée, factuelle, peu cognitive. Un cycle de 4 séances de 45 mn en distanciel est également disponible. Il vise à s'emparer progressivement de ces états de pleine présence, d'écoute et de compréhension des signaux que nous envoie le corps.
On prend le temps d'être exactement comme on est. On sort d’une course à l’objectif. C’est s’ouvrir à soi, simplement ressentir tout ce qui constitue le moment présent et son désir propre à un instant t.
On apprend à être en congruence avec soi. Les difficultés sont toujours là, mais nous atteignent moins. On lâche la pression, on a moins peur, et on est moins fasciné par la manifestation de ses émotions.
Notre lien avec le monde est restauré, tout est vivant. Cela peut être très furtif ou très intense.
Montrer que l’obsession d’un projet que l’on a, peut nous empêcher d’entrer dans l’expérience de notre vie. Des alternances sont nécessaires.
Découvrir que se rencontrer dans l’attitude d’être ami avec soi, n’est pas égoïste, mais dans son harmonie est une source de vitalité majeure, utile au monde.
Sortir de l’idée que nos émotions sont nos ennemies, et qu’il faudrait être dans un contrôle permanent. Ouvrir une relation plus saine avec elles, dans l’observation de ce dont elles nous informent.
Laisser émerger notre intériorité, notre personnalité inconsciente, et nourrir notre dimension spirituelle.
Transmettre des méthodes qui pourront être utilisées en autonomie.
L’hypnose est une pratique thérapeutique visant à accompagner une personne dans un état modifié de conscience, pour aller travailler sur des blocages émotionnels et inconscients.
Cet état modifié de conscience correspond à un ralentissement des ondes cérébrales. C’est un état naturel, intermédiaire entre la veille et le sommeil. Il peut être atteint par exemple lors de pratiques méditatives ou artistiques. Les techniques récentes d’imagerie médicale ont permis de caractériser ces états pendant longtemps associés au surnaturel. De nombreuses études scientifiques démontrent aujourd’hui l’efficacité de l’hypnose et les neurosciences permettent d’éclairer ce qui a lieu dans le cerveau : il y a un changement des chemins neuronaux, c’est-à-dire en quelque sorte une reprogrammation des schémas de fonctionnement de la personne.
La pratique la plus courante aujourd’hui est l'hypnose ericksonienne. Milton Erickson a pu se reposer sur les travaux de nombreux chercheurs, philosophes et praticiens tels que Franz-Anton Mesmer, le fondateur de la théorie du magnétisme animal au 18ème siècle. Il a développé des techniques d’induction très efficaces, et a donné à la pratique une nouvelle philosophie : le praticien ne sait pas pour la personne ce qui est bon pour elle, il ne peut que l’aider à le trouver et l’accompagner. C’est à la personne de mettre à profit l’état hypnotique pour accéder à ses ressources intérieures et dépasser ses difficultés.
L’hypnopraticien a la capacité de créer un lien de confiance et maîtrise un art du questionnement qui lui permet de rapidement identifier les empêchements à l’origine des difficultés, c’est-à-dire les blocages émotionnels qui peuvent empêcher une personne de réaliser ses objectifs. Il recherche les scénarios d’échec et les biais émotionnels (peurs, croyances, injonctions, non-autorisations, …) et accompagne la personne pour s’en libérer en mettant de la distance entre l’émotion et la situation, et en revisitant la réalité et la façon dont elle la perçoit.
L’hypnose est très efficace dans les situations suivantes :
L’objectif n’est pas de traiter des maladies ou des symptômes physiques, mais l’hypnose peut aussi se révéler très utile en complément d’un médecin sur des troubles psychosomatiques.
De manière générale, dès qu’une personne se sent empêchée de réaliser ses objectifs, sans que ce soit dû à des événements extérieurs, il y a une problèmatique d’ordre psychologique ou émotionnel qui peut être traité par de l’hypnose.
La demande doit toujours venir du bénéficiaire, et celui-ci doit se sentir en confiance avec le praticien.
Une séance dure généralement 45 min à 1h, et les effets positifs peuvent se ressentir très rapidement, après 2 ou 3 séances. Le parcours se fait sur-mesure en fonction des objectifs du bénéficiaire et le nombre de séances dépend de son avancement et ses envies.
La séance commence toujours par un questionnement qui permet de déterminer les objectifs du bénéficiaire, les empêchements qui y sont reliés et quels résultats il espère atteindre.
Le praticien procède ensuite à une mise en hypnose en utilisant ses techniques d’induction et de suggestion. Le bénéficiaire réalise le travail en étant accompagné en douceur par le praticien. Une part de l’inconscient travaille mais le bénéficiaire reste conscient et les sens éveillés : il garde pendant toute la séance son libre arbitre et sa sécurité.
Le client sort de l’état d’hypnose naturellement une fois qu’il a décidé inconsciemment à quel moment le travail est fait.
Il peut y avoir des prises de conscience mais ce n’est pas nécessaire. Il n’y a pas besoin de parler longuement pour créer du lien et produire des effets positifs : le praticien cherche une libération du problème sans forcément identifier son origine.
Tout de suite à la fin de l’état d’hypnose, le bénéficiaire est accompagné vers la sortie, sans procéder à un débrief de la séance. Cela permet de couper le lien avec le praticien, et de renforcer la confiance du bénéficiaire, en lui montrant que c’est lui qui a fait le chemin et trouve ses propres solutions.
Les bénéfices de l’hypnose rassemblent les éléments suivants :
L’ostéopathie est une médecine manuelle qui vise à rééquilibrer les structures ostéo-articulaires et viscérales qui ont perdu leur mobilité. Elle considère que toutes les parties du corps sont reliées entre elles, que la structure gouverne la fonction, et que le corps a un pouvoir d'autoguérison.
Pour les ostéopathes, les différentes structures du corps ont la capacité de se mouvoir en toute liberté. Lorsqu'une perte de mobilité apparaît au niveau des muscles, des viscères, du crâne ou des enveloppes (fascia), des symptômes surviennent. Elle part ainsi de la structure corporelle dont la mécanique est altérée pour corriger le désordre en cause et mener l'organisme à l'auto guérison. L’équilibre du corps est fondamental, car il assure le bon fonctionnement des systèmes nerveux, musculaire et circulatoire. Préserver l’équilibre entre tous les éléments corporels et émotionnels revient à préserver la santé, et si un blocage ou une affection se produit sur une partie du corps, cela peut affecter l'ensemble.
Théorisée à la fin du 19ème siècle par un médecin américain Dr Andrew Taylor Still et répandue en France depuis les années 1970, l’ostéopathie est une médecine non conventionnelle qui bénéficie d’un cadre légal rigoureux depuis 2002 qui a permis son développement tout en assurant sa régulation. La formation pour obtenir le diplôme d’ostéopathe dure 5 ans et est assurée par des établissements agréés par l’État. De plus en plus de mutuelles remboursent partiellement ou totalement les séances d’ostéopathie, ce qui témoigne du succès de cette pratique.
L'ostéopathie est, selon ses adeptes, à la fois une science et un art. Doté d'une grande habileté et de connaissances approfondies en biologie, en psycho-pathologie, en structure des os, des articulations et des muscles... l'ostéopathe prend en compte la personne dans sa globalité et effectue un bilan complet à l'aide de ses mains. Puis il la soigne avec des gestes techniques et un toucher minutieux et précis.
Le corps a la capacité de s’adapter et modifier sa structure à la suite de traumatismes ou d’émotions intenses ou répétées. Mais cette adaptation peut provoquer des pertes de mobilité et des douleurs. Le corps a alors besoin de l’aide de quelqu’un pour faire sauter ces verrous et reprendre son processus naturel d’homéostasie, c’est-à-dire son processus d'autorégulation visant à maintenir un équilibre physiologique au sein de l'organisme.
L’ostéopathie n'est pas adaptée aux maladies graves, purement organiques ou s'accompagnant d'états infectieux ou inflammatoires importants. Elle s'adresse plutôt à des pathologies fonctionnelles, où corps et psyché sont intriqués. Elle peut être très efficace lorsque les analyses médicales (prise de sang, imagerie médicale, …) ne trouvent pas d’anomalie et ne parviennent pas à identifier la cause des douleurs.
Cette pratique est particulièrement recommandée pour les problèmes suivants :
Elle peut aussi être utile pour d’autres problèmes en complément d’un médecin et/ou d’un kinésithérapeute :
Une séance d'ostéopathie dure 45 minutes et se déroule en trois grandes étapes.
La séance commence par un questionnement approfondi du bénéficiaire pendant environ 10 minutes. Le praticien va identifier le type de douleur, si elle nécessite une intervention médicale ou si elle peut être traitée par l’ostéopathie. Il se renseigne sur l’existence d’antécédents traumatiques et de diagnostics médicaux qui pourraient être en lien avec le motif de consultation.
La deuxième phase est un examen physique du bénéficiaire. Le praticien va tester, par le biais de palpations et de mises en mouvement, la mobilité des différentes structures corporelles. Il analyse et identifie où sont localisés les dysfonctionnements et comment d’autres parties du corps ont pu être impactées par la nécessité de s’adapter suite à un traumatisme ou une pathologie. Pendant cette phase, le praticien peut communiquer au bénéficiaire les blocages qu’il a repérés, et les causes éventuelles de ces blocages. Le praticien peut impressionner par la justesse des causes qu’il identifie, simplement par une analyse du corps. Des prises de conscience de ce que le corps garde en mémoire peuvent avoir lieu.
Une fois qu’il a établi les schémas des dysfonctionnements, le praticien va procéder au traitement. Il se repose sur des techniques de pression et d'élongation, des techniques structurelles pour effectuer un replacement, des techniques de détentes viscérales ainsi que sur des manipulations vertébrales et crâniennes.
La grande majorité des problèmes peuvent être traités en moins de 3 séances, et régulièrement une seule séance suffit et les bénéfices sont durables. Dans les cas de pathologies graves et persistantes, le praticien pourra apaiser les douleurs et redonner de la mobilité au corps mais seulement temporairement.
Les bénéfices de l’ostéopathie rassemblent les éléments suivants :
L’énergétique chinoise, éprouvée au cours de plusieurs millénaires d’histoire en Asie, s'intéresse à la communication entre les différentes fonctions organiques, étroitement liées les unes aux autres par un courant d'énergie, appelé "chi" ou "Qi". Selon ce principe, la maladie résulte de blocages ou de déséquilibres énergétiques. Tout l'art énergétique chinois consiste alors à rétablir l'harmonie au sein de ces flux d'énergie.
L’énergétique chinoise aborde l'individu de manière holistique, considérant que tout est interconnecté et que la complexité de la personne est à l’image de la complexité du monde. Les 5 éléments (Bois, Feu, Terre, Métal et Eau) représentent tous les phénomènes associés à la nature et sont directement liés avec les organes principaux du corps. Ils sont aussi associés à des couleurs, des émotions, des traits de personnalité et des dysfonctionnements. L’énergétique chinoise est intimement liée aux grands courants philosophiques et aux traditions scientifiques et culturelles chinois. Ainsi, trouver les justes équilibre et mouvement entre les deux forces opposées mais complémentaires du Yin (noir) et du Yang (blanc) est essentiel à la santé.
Les textes chinois affirment que le corps humain est parcouru par des lignes énergétiques nommées méridiens, chacun correspondant à un organe ou une fonction. La stimulation de ces points situés à des endroits précis du corps permet de réguler la circulation de l’énergie dans l’organisme, et ainsi d’équilibrer son passage dans les différents organes du corps.
Cette discipline regorge de ressources thérapeutiques destinées à rétablir un équilibre physiologique, mental et émotionnel. Ces pratiques peuvent être curatives mais aussi préventives, l’objectif est d’éviter que la maladie s’installe ou plus généralement d’entretenir la santé. Chaque pratique fait l’objet de formations et certifications spécifiques.
L’énergétique chinoise utilise cinq outils :
Chez Mainpaces, nous proposons dans le cadre du parcours d’accompagnement deux de ces pratiques :
Les pratiques de l’énergétique chinoise sont fréquemment recommandées pour les problèmes suivants :
Chaque séance est réalisée sur-mesure en fonction de "l'état énergétique" du bénéficiaire tel qu’il a été perçu par le praticien. Deux personnes souffrant d’un même problème ne seront pas accompagnées de la même manière.
La séance dure environ 1h et le bénéficiaire est allongé et couvert. Après une première discussion, le praticien va procéder à une lecture du corps par le toucher afin de déterminer comment l’énergie circule, et où sont situés les blocages qui provoquent les douleurs et difficultés. Pendant la séance, le but de la stimulation va être de combler un déficit d’énergie au niveau de certains organes, ou au contraire d’évacuer un trop plein, afin d'aider le corps à rétablir son harmonie et son équilibre. Le praticien avance toujours avec une profonde écoute et un respect du corps. Il est possible d'expérimenter diverses sensations : chaud, froid, fourmillements, relâchement profond ; et certaines émotions peuvent surgir : rire, joie, fatigue, etc.
La séance se termine avec un temps d’échange pendant lequel le praticien restitue ce qu’il a identifié, ce sur quoi il a travaillé, et donne quelques recommandations (sommeil, nutrition, respiration…). Le bénéficiaire est aussi invité à partager son expérience et ce qu’il a ressenti pendant la séance.
Les bénéfices de ces pratiques rassemblent les éléments suivants :